1. Une fonction au carrefour de toutes les tensions
Il se retrouve alors à devoir arbitrer sans mandat, trancher sans autorité, et garantir des livrables dans un cadre qu’il n’a pas choisi.
2. Un rôle d’interface qui mérite un cadre clair
3. Conséquences sur le déroulement du projet
4. Renforcer la position des chefs de projet : quelques leviers utiles
Clarifier le rôle et les responsabilités dès le lancement
Un chef de projet opérationnel doit connaître précisément ses marges de manœuvre. Qui arbitre en cas de conflit ? Quels écarts peut-il valider seul ? Quelles décisions nécessitent un sponsor ? Ces éléments doivent être cadrés dès l’amont.
Structurer la relation avec le prestataire
Une relation saine avec un prestataire repose sur une gouvernance claire. Les chefs de projet doivent disposer de documents d’objectifs partagés, de jalons validés, et d’un cadre de dialogue régulier.
Intégrer un sponsor visible
Le chef de projet ne peut pas porter seul la dynamique du projet. Un sponsor identifié, capable de débloquer les situations, donner du poids aux décisions, et arbitrer, est un facteur de stabilité majeur.
Une fonction à repositionner dans les projets digitaux
Les chefs de projet sont des courroies de transmission, mais aussi des régulateurs de tension. Leur efficacité dépend directement de la façon dont l’organisation les reconnaît et les soutient.